
Raja Casablanca : Belgchour accuse, Birouaine silencieux. Le comité provisoire tarde. Aucune date officielle n’a encore été fixée pour l’assemblée générale élective du Raja de Casablanca. Pourtant, l’urgence est claire : le club doit préparer sa prochaine saison, recruter, planifier, décider.
Ce silence intrigue. Pourquoi ce blocage ? À quoi joue le président intérimaire Abdellah Birouaine ? Les supporters veulent comprendre. Le flou persiste. La crise au Raja Casablanca s’installe.
Où en est la vente du club ?
Le projet est ambitieux. Un investisseur local souhaite racheter 60 % des parts de la société Raja Club Athletic. Montant avancée de l’opération : 15 milliards de centimes.
Mais rien ne bouge. Le dossier stagne. Pas d’annonce, pas de calendrier, pas de transparence. Une autre question sans réponse.
Qui pilote vraiment le recrutement ?
Abdellah Birouaine s’en charge. Seul. Pourtant, le Raja n’a ni directeur sportif, ni direction technique, ni commission de recrutement.
Alors comment décider quels profils signer ? Sur quelle base ? Cette méthode inquiète. Elle éloigne le club des standards professionnels. Encore un point de crispation.
Raja Casablanca : Belgchour accuse, Birouaine silencieux
Candidat déclaré à la présidence de la société du Raja, Abdeslam Belkchour se retire. Brutalement. Par un post Facebook, il accuse.
« Le président actuel s’accroche à son poste. Il gère seul les transferts. Il refuse d’ouvrir les adhésions. Il bloque la tenue de l’AG. »
Le ton est ferme. Belkchour tacle Birouaine. Il dénonce un climat malsain. Il refuse de cautionner un système verrouillé.
Une crise au Raja Casablanca qui inquiète
Transparence absente, blocage électoral, stratégie sportive improvisée. Le Raja de Casablanca traverse une crise profonde. Les fans s’interrogent. Le silence de la direction alimente la tension.
La saison prochaine approche. Mais le flou reste total.
