Le Maroc s’impose face au Bahreïn 1-0. Le Maroc a souffert. Il a même trop longtemps avant de trouver la solutions face au Bahreïn qui a joué en blocs bas. Les Lions de l’Atlas étaient sans solutions pendant plus de 90 minutes avant que le défenseur Jaouad El Yamiq ne déverouille la défense du Bahreïn offrant un succès étrique aux Lions de l’Atlas. Ce succès a permis au Maroc d’égaler le record de victoire de l’Espagne avec 16 succès consécutif. Au-delà du résultat, c’est l’incapaciét des Lions à trouver des solutions qui inquiètent. sans solutions face aux blocs bas de Bahreïn : le casse-tête se poursuit. Les Lions de l’Atlas se heurtent encore à leurs vieux démons.
Opposé au Bahreïn en match amical, le Maroc a une fois de plus buté sur un adversaire bien organisé défensivement.
Malgré une large possession et une supériorité technique évidente, les hommes de Walid Regragui n’ont jamais su trouver les clés pour ouvrir un bloc bas compact.
Une problématique récurrente qui inquiète sérieusement à deux mois de la CAN 2025, que le Maroc accueillera à domicile.
Le Maroc s’impose face au Bahreïn 1-0 : une domination stérile face à un Bahreïn discipliné pendant 90 minutes
Dès les premières minutes, le Maroc a pris le contrôle du ballon.
Avec un onze offensif emmené par Brahim Diaz, Ismael Saibari, Ayoub El Kaabi et Abde Ezzalzouli, l’équipe nationale a multiplié les passes dans le camp adverse… sans jamais réussir à déséquilibrer la défense bahreïnie.
Le Bahreïn, regroupé en bloc compact, a fermé tous les espaces, laissant les Lions sans inspiration.
Les rares tentatives marocaines ont été facilement interceptées, et le gardien Lutfalmah Ebrahim Khalil s’est montré impeccable dans ses interventions.
Le Maroc sans solutions face aux blocs bas : c’est devenu une constante.
Malgré des joueurs talentueux, le collectif peine à se montrer créatif face à des défenses regroupées.
Le Maroc s’impose face au Bahreïn 1-0 : le Maroc a trop souffert
Le Maroc a tiré aux but adverse plus de 27 fois et plus de 650 passes contre seulement 150 passes pour ‘équipe adverse et deux tirs aux buts. Malgré tous ces chiffres, les Lions ont montré leur limité face à ce genre d’adversaires. cmanque de solutions face aux blocs bas révèle les limites du système de jeu mis en place par Walid Regragui.
Les Lions peinent à varier leurs attaques : peu de mouvements entre les lignes, manque de projection des latéraux, et une dépendance excessive aux exploits individuels.
Même avec des joueurs techniques comme El Khannouss ou Diaz, le Maroc a manqué d’automatismes dans les petits espaces.
Le jeu devient prévisible, et les adversaires n’ont qu’à attendre pour contrer.
Regragui a tenté de réagir en multipliant les changements — En-Nesyri, Igamane, Ben Seghir, Targhalline — mais sans plus de réussite.
La possession est restée stérile, les combinaisons inoffensives, et la lucidité offensive absente.
Il a fallu attendre les arrêts de jeu pour voir finalement le Maroc débloquer la situation dans les arrêts de jeu par Jaouad El Yamiq.
Une alerte avant la CAN 2025
Ce Maroc sans solutions face aux blocs bas n’est pas une découverte.
Le même problème avait déjà coûté cher lors de la CAN 2023, quand les Lions avaient été éliminés sans gloire par l’Afrique du Sud (0-2).
Deux ans plus tard, le constat reste le même : une équipe talentueuse mais trop prévisible, qui peine à faire sauter le verrou des équipes défensives.
À domicile, en 2025, face à des adversaires qui adopteront le même plan de jeu, cela pourrait être fatal.
Regragui devra donc trouver un plan B, capable d’apporter plus de créativité, de percussion et d’imprévisibilité dans les 30 derniers mètres
Le Maroc sans solutions face aux blocs bas : un signal d’alarme à temps
Le Maroc a les moyens de corriger le tir, mais le temps presse.
Les supporters, eux, s’interrogent : comment une équipe aussi talentueuse peut-elle être à ce point inoffensive face à un bloc compact ?
À deux mois du grand rendez-vous continental, cette question reste ouverte.
Et la réponse, Walid Regragui devra la trouver rapidement, sous peine de revivre les mêmes désillusions.
