Finale Mondial 2030 : le Maroc avance, l’Espagne met la pression. Les Espagnols intensifient leur campagne pour accueillir la finale. Le dernier acte en date vient de José Manuel Rodríguez Uribes, président du Conseil supérieur des sports espagnol. En effet, ce dernier, dans une interview à l’agence EFE, a exprimé son souhait de voir la finale se jouer à Madrid, au stade Santiago Bernabéu.
« Il est logique que la finale ait lieu en Espagne, à Madrid, qui est la capitale et le siège du plus grand club de l’histoire », a-t-il affirmé, en référence au Real Madrid.
Lire aussi : Désignation des stades du Mondial 2030 : Lekjaa clarifie les choses
L’Espagne s’agite médiatiquement pour obtenir la finale du Mondial 2030
Cette sortie médiatique n’est pas anodine. Elle s’inscrit dans une stratégie claire visant à influencer la FIFA. Les autorités espagnoles multiplient les prises de parole, alors même qu’aucune décision officielle n’a encore été prise par l’instance mondiale.
Le Royaume répond avec des faits
Face à cette offensive, le Royaume ne reste pas les bras croisés. En effet, il mise sur un atout de taille : le futur Stade Hassan II à Mansouria (province de Benslimane), dont l’inauguration est prévue en 2028.
Ce stade ultra-moderne offrira :
- 115 000 places
- Une architecture futuriste
- Une connectivité numérique complète
- Des équipements répondant aux normes FIFA
Par ailleurs, sa capacité dépassera celle du Santiago Bernabéu, ce qui renforce la crédibilité du dossier marocain.
Lire aussi : Mondial 2030 : le Maroc lance la construction du plus grand stade au monde
Un projet visionnaire au cœur de l’Afrique
Contrairement à l’Espagne, qui communique beaucoup, le Royaume construit, investit et anticipe. Plusieurs observateurs affirment déjà :
« Le Maroc mérite d’accueillir la finale mieux que quiconque. »
Le Portugal, autre co-organisateur, a de son côté indiqué ne pas vouloir accueillir cette finale. Le duel se joue donc à deux : le Maroc avance sur le terrain, l’Espagne s’agite dans les médias.
Une décision sous pression
La FIFA n’a pas encore tranché. Et pourtant, la pression monte déjà. Tandis que l’Espagne insiste publiquement. D’un côté, le Maroc joue la carte du concret. De l’autre, l’Espagne, la pression. Son ambition est claire : faire de cette finale un moment historique pour l’Afrique, dans un stade emblématique. Pour l’équilibre du football mondial. Pour l’histoire. Pour l’Afrique.
