
WAC : les Winners fustigent Aït Mena et son bilan. Les Ultras Winners ne décolèrent pas. Dans un communiqué virulent, ils dénoncent le bilan du WAC cette saison, qualifié de « catastrophique ». Pour la troisième année consécutive, le Wydad termine sans trophée. Une humiliation pour un club qui vise l’excellence.
Une responsabilité directement attribuée au président
Pour les Winners, Hicham Aït Mena est le principal responsable. Le mercato raté, les erreurs techniques, l’absence de direction sportive : tout est pointé du doigt. L’arrivée de joueurs brésiliens inefficaces est citée comme exemple d’une gestion erratique.
« Des caprices incompréhensibles ont coûté cher à l’équipe. »
Une analyse chiffrée accablante
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
- 30 matchs disputés
- 16 sans victoire
- 12 nuls, record de la Botola
Ce bilan traduit une stérilité tactique et une incapacité à trouver des solutions.
Une soumission inacceptable face aux injustices
WAC : les Winners fustigent Aït Mena et son bilan. Les Ultras dénoncent aussi l’attitude passive du club face aux erreurs d’arbitrage et à la programmation chaotique de la LNFP. Pour eux, le WAC n’a pas su défendre ses intérêts.
« Il est inacceptable de gaspiller des milliards pour une troisième place. »
WAC : les Winners fustigent Aït Mena et son bilan, Aït Mena appelé à revoir sa copie
Malgré son expérience, Aït Mena est jugé trop passif, fermé à la critique, et déconnecté de l’urgence. Les Winners appellent à des décisions fortes et immédiates, surtout avant la Coupe du Monde des Clubs.
Quelques points positifs… mais insuffisants
Malgré ces critiques, les Winners saluent certains progrès : amélioration de la communication, développement de l’école du club, performances de l’équipe féminine. Mais pour eux, ces avancées restent marginales face aux ambitions du Wydad.
Une alerte pour l’avenir
L’appel est clair : le club doit se redresser dès maintenant. La planification de la saison prochaine commence aujourd’hui. L’échec n’est plus une option.
« Ne pas planifier, c’est planifier l’échec. »
