La CAN féminine passe à 16 équipes à partir de 2026. Le Comité exécutif de la Confédération Africaine de football (CAF) a entériné une décision historique : la CAN féminine passe à 16 équipes dès la prochaine édition prévue au Maroc du 17 mars au 3 avril 2026.
Cette réforme, longuement attendue, marque une nouvelle étape dans la progression du football féminin sur le continent.
Jusqu’à présent limitée à 12 équipes, la Coupe d’Afrique des Nations féminine TotalEnergies CAF (WAFCON) s’ouvre désormais à davantage de sélections, offrant une vitrine plus large au talent africain.
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La CAN féminine passe à 16 équipes – une décision stratégique de la CAF
La CAF a expliqué que cet élargissement s’inscrit dans sa vision de développement global du football féminin.
L’objectif : renforcer la compétitivité, offrir plus d’opportunités aux nations émergentes et accroître la visibilité du football féminin africain sur la scène mondiale.
Cette mesure permettra aussi de préparer les sélections africaines à la Coupe du Monde féminine de la FIFA 2027, prévue au Brésil, dont la CAN féminine Maroc 2026 fera office de tournoi qualificatif.
La CAN féminine passe à 16 équipes – les nouvelles nations qualifiées
Après la clôture des éliminatoires, la CAF a retenu quatre nations supplémentaires pour compléter la liste des participantes, en se basant sur le classement mondial féminin de la FIFA.
Les quatre pays repêchés sont :
- 🇨🇲 Cameroun (66e FIFA)
- 🇨🇮 Côte d’Ivoire (71e FIFA)
- 🇲🇱 Mali (79e FIFA)
- 🇪🇬 Égypte (95e FIFA)
Ces sélections rejoignent les 12 nations déjà qualifiées :
Maroc (pays hôte), Zambie, Tanzanie, Malawi, Algérie, Nigeria, Ghana, Burkina Faso, Kenya, Cap-Vert, Afrique du Sud et Sénégal.
La CAN féminine passe à 16 équipes – une étape majeure pour l’Afrique
Avec 16 équipes en lice, la WAFCON 2026 promet un spectacle inédit.
Cette réforme contribue à élargir la base de développement du football féminin africain et à multiplier les expériences internationales pour les jeunes talents.
Le Maroc, hôte du tournoi, bénéficiera de cette dynamique pour renforcer sa position de pôle majeur du football féminin en Afrique grâce à ses infrastructures modernes et à la qualité de son organisation.
Par : A.I.
